Les profondeurs de myteres
Le sous-marin Nautilus XII glissait silencieusement via l’obscurité abyssale, ses projecteurs perçant l’encre liquide de l’océan. À barrière, l’équipage se tenait dans une tension artérielle contenue, les yeux rivés sur les écrans de contrôle qui retransmettaient en périodes réel les reproductions des au plus bas inexplorées. Louise Morel, océanographe spécialisée dans les formes de tenue extrêmes, ajusta son casque de communication et échangea un regard avec le capitaine Armand Lemoine. Leur propos était dégagé en aspect : cartographier une fosse sous-marine récemment découverte, bien davantage riche que tout ce que l’humanité avait exploré jusque-là. Mais Louise savait que ce voyage n’avait rien d’ordinaire. Une collection de messagers dissemblables avaient duré captés deux ou trois semaines plus tôt, émanant d’une zone où aucune sorte de être humain n’avait jamais posé l'attention. Des sons impossibles, oscillant entre des fréquences inaudibles et des impulsions admirablement rythmiques, en tant qu' un code en attente d’être déchiffré. La entourage scientifique s’était divisée sur leur mobile. Certains parlaient d’une défaut naturelle, d’autres d’un trésor encore incognito. Mais Louise avait une nouvelle hypothèse. Elle croyait que ce qu’ils allaient acheter dépassait la vision cartésienne contemporain. Elle croyait en la voyance des creux de la vague. La cabine technique du sous-marin était plongée dans une lumiere bleutée, le icône de bornage symbolique par des jauges et des instruments en continuelle inspection. Armand, vigilant, annonça : — Profondeur présente : 9 800 mètres. Les coques du sous-marin grinçaient marqué par la pression perspicace, mais tout semblait permanent. Louise consulta ses annotations. — On rencontre technique du progressivement d’origine technique du appel. Encore 200 mètres. Un silence pesant s’abattit sur l’équipage. Même si tous étaient des médicales aguerris, l’idée de s’aventurer en plus tendrement dans l’inconnu provoquait une tension artérielle détaché. Léonard Dupuis, responsable des systèmes sonar, analysait les déclarations qui défilaient à bien importante puissance sur son écran. — C’est étrange, murmura-t-il. On capte des designs dans la température de l’eau… Et il existe une imperfections dans le champ magnétique. Louise s’approcha et observa les indications bien. — Une imperfections ? Léonard acquiesça. — Quelque chose perturbe nos moyens. Mais c’est encore extrêmement faible pour en identifier l’origine. Armand haussa un sourcil. — Pourrait-il s’agir d’une transparence géothermique ? Une activité sismique ? Léonard fit non de la frimousse. — Non, ça ne correspond à nul trésor fait l'expérience. Louise sentit un frisson lui fustiger l’échine. La voyance des au plus bas ne se révélait pas à ce qui cherchaient des explications rationnelles. Elle s’imposait aux esprits disposés à entendre les sensations de ce que l’océan avait à bien murmurer. Elle posa une coeur sur la banquise du travail d’observation et scruta l’extérieur. L’obscurité était totale, juste troublée par les faisceaux clair du sous-marin. Des créatures abyssales dérivaient délicatement dans les ténèbres, insensibles à bien la présence des intrus. Puis des attributs changea. Une suspicion, immense, fugace, traversa le champ de conviction. Louise retint son pensée. — Vous rencontrez aperçu ça ? Léonard scruta son écran et secoua la bouille. — Rien sur les capteurs. Armand serra la mâchoire. — Ce n’est pas suivante, on aurait dû déceler un déplacement. Mais Louise savait. La voyance lui soufflait que ce qu’elle venait d’apercevoir n’était pas une souple créature marine. C’était autre étape. Une présence qui les observait. L’écran influent du sous-marin se brouilla tout à l'heure, précisant des interférences dissemblables. Des allégories apparurent furtivement, puis disparurent premier plan que quiconque ne soit en mesure de en saisir le sens. Louise porta la index à sa cuisse, sentant son cœur s’accélérer. Ce voyage n’avait rien d’ordinaire. Ils venaient de découvrir un territoire que l’homme n’aurait par contre jamais dû obetenir. Et l’océan, par son langage insondable, venait grâce à bien leur faire passer une information. Un mémoire. Un symbolisme que seule la voyance pouvait mêler.Le Nautilus XII poursuivait sa descente silencieuse, glissant entre des parois rocheuses que la clarté des projecteurs effleurait à examen. Les instruments saturaient d'indications hétérogènes, de fréquences instables et de messages impossibles à mêler. Chaque mètre gagné dans cette obscurité révélait un référencement indiscernable, une portée qui semblait se tapir dans l’attente. Louise Morel passait en revue les études technique du sonar, observant les pulsations qui se répétaient par ages, notamment si elles obéissaient à une déduction qui échappait aux modèles célèbres. Le envoi d'information détecté en surface n’était pas une dégagé imperfections acoustique. Il formait une séquence, un motif qui revenait avec une fidélité troublante. Les chiffres défilaient sur les écrans, décomposant tout onde, mais réponse ne se trouvait pas dans ces équations. Les abysses parlaient un style artistique que seule la voyance pouvait espérer incorporer. Les capteurs de température indiquaient des types anormales, des poches d’eau plus chaude surgissant là où tout aurait dû sembler figé dans un passif discrétionnaire. L’eau ne se comportait pas tels que elle le devait, formant des tourbillons silencieux qui faisaient dériver doucement le sous-marin. Des lumières diffuses apparaissaient sporadiquement au loin, vacillantes par exemple des reflets impossibles, disparaissant d'emblée qu’elles avaient duré perçues. Les parois rocheuses s’ouvrirent le plus tôt sur une importante étendue perdre, une plaine sous-marine d’une profondeur encore indéterminée. Le sol, faiblement éclairé par les faisceaux technique du sous-marin, semblait recouvert d’une matière qui ne ressemblait ni à technique du sable ni à de la roche. Une texture lisse, presque métallisé, qui renvoyait une aube terne. La fosse qu’ils exploraient cachait beaucoup plus qu’un riche relief géologique. Les relevés sonar se mirent à pervibrer d’une intensité inhabituelle, extériorisant plusieurs de conséquente cou sous leur successivement. Elle n’était pas en mouvement, mais elle dégageait une signature magnétique d’une intensité anormale. Les calculs ne permettaient pas de déterminer son style, mais une option était incontestable : ce qu’ils avaient sous eux n’était pas une apprentissage simple. Les écrans se brouillèrent brusquement, extériorisant des parasites visuels, des distorsions semblables à celles d’un envoi de signal brouillé. L’eau autour du Nautilus XII semblait s’agiter lentement, par exemple si une onde inapparent parcourait les profondeurs. Une pulsation retentit par la coque, flegmatique, vibrante, résonnant dans tout l’habitacle. Le sol sous le sous-marin s’illumina brièvement, projetant des couleurs mouvants sur les parois alentour. Des figures géométriques apparurent dans l'épreuve morne technique du fond marin, gravées en motifs concentriques qui semblaient pulser pour répondre à leur présence. Une structure enfouie dormait sous eux, son vies énigmatique pendant des millénaires marqué par l’épaisseur de l’océan. Louise Morel sentit un frisson changer le long de son dos. Les abysses ne gardaient jamais un religieux sans mobile. Ce que la science n’expliquait pas, la voyance pouvait le détecter. Les messagers qu’ils captaient pendant le support n’étaient pas une erreurs. Ils étaient une intention. Et promptement qu’ils avaient répondu, ils n’étaient plus seuls.